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Campardon
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Les Spectacles de la foire, 1877, t. I, p. 206 : "COCHOIS, habile sauteur, faisait partie en 1720 de la troupe de Francisque, son beau-frère, et y jouait les rôles de Gilles."
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AS
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Marié à Marguerite Moylin.
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JPhVA
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Parfaict
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Mémoires pour servir à l'histoire des spectacles de la foire (1743) t. I, p. 223 : "COCHOIS […] étoit un très-habile sauteur, qui remplit dans la suite les emplois de Gille. Il avoit épousé à Lille en Flandres la sœur de Francisque […] & suivit la Troupe de son beau-frere. Il se cassa le tendon d'Achille, faisant le Gille autour de la table, qui sert pour les sauts périlleux du fauteuil. Il est mort en Province."
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AS
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Fuchs : Lexique
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P. 42 : "Cochois (Michel). – Chef de troupe (comédie italienne), autorisé Amiens 1er octobre 1714 (Archives municipales d'Amiens, FF 1307); épouse, avant 1718, à Lille, une sœur de Francisque et Simon Moylin (Dacier (E.), Une danseuse de l'Opéra sous Louis XV, Mlle Sallé, Paris, Plon, 1909, in-16, p. 3); mourut non en 1743, comme le dit Lyonnet, mais avant 1736 : cette année-là on trouve en effet la "veuve Cochois" à Nancy (Dacier (E.), Une danseuse de l'Opéra sous Louis XV, Mlle Sallé, Paris, Plon, 1909, in-16, p. 290) et, le 28 septembre 1737, une autorisation est accordée par le viguier d'Avignon aux "enfants de Michel Cochois" et à Jean Martel (Duhamel, Le théâtre d'Avignon aux XVIIe et XVIIIe siècles, ap. Annuaire de Vaucluse, 1890, p. 114). Ces enfants étaient au nombre de trois : un fils, qui jouait à Berlin en mai ou juin 1743 et qui mourut encore jeune en Russie (Olivier (J.–J.) Comédiens français dans les cours d'Allemagne, Paris, 1901 – 1905, 4 vol. in-4, II, p. 34); deux filles : Babet et Marianne."
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AS