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Sources
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- Lebègue (Raymond), "La moralité des comédiens de Nantes au XVIIIe siècle", Bulletin de la Société des Historiens du Théâtre, 1933, juillet, pp. 52-54 : François Aubert, acteur, marié, accusé de viol par sa servante (1739, Nantes). [AS]
- Denis (J.-L.), Dictionnaire des artistes et artisans manceaux. Notes et documents de l'abbé Gustave-René Esnault publiés par l'abbé J.-L. Denis, Laval, Goupil, 1899, t. I, pp. 9-14 : "François Aubert, directeur d'une troupe de comédiens au Mans en 1742". [JPhVA]
- Biais (Emile), "Le théâtre à Angoulême (XVe s.–1904)", Réunion des Sociétés des Beaux-Arts des départements, 1904, t. XXVIII, p. 288 : "François Aubert, directeur de la Comédie" d'Angoulême (1748). [AS]
Voir aussi p. 320 : "Aujourd'huy 12 janvier 1748, a esté baptizé et est né le 7 dudit mois et an, Jacques Aubert, fils naturel et légitime de François Aubert, directeur de la Comédie, et de Michele Lombroze, ses père et mère […]".
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Né à Lyon. Probablement le créancier de l'Opéra de Lyon en 1716 et en 1718, qu'évoque Vallas (Un siècle de musique et de théâtre à Lyon, pp. 142 et 155). Membre de la troupe itinérante de Jassinte qui circule à Orléans, Blois, Le Mans et Tours en 1730-31. Le 31 août 1733, il épouse à Bruxelles Rebecca Lombroza, Juive née en Hollande, qui se convertit au catholicisme le 28 août et prend les prénoms de Michèle-Rosalie-Christiane. Le 17 octobre de la même année, il fait baptiser à Bruxelles Marie-Françoise (paroisse St-Nicolas).
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JPhVA