Personne : Marie-Rose Pole

  • Campardon
    L'Académie royale de musique au XVIIIe siècle, 1884, t. II, p. 263 : "Elle était fille de Mlle Delfèvre, danseuse de l'Académie royale de musique, et après avoir reçu les leçons de Deshayes à l'Ecole de danse de l'Opéra, elle parut pour la première fois à ce théâtre en 1782. Elle fut attachée ensuite au corps de ballet de la Comédie-Française et ne reparut à l'Académie royale de musique qu'en 1786, dans Armide, tragédie de Quinault, musique de Gluck."
    AS
  • Campardon
    L'Académie royale de musique au XVIIIe siècle, 1884, t. II, p. 264 : "Mlle Rose, jeune personne d'un caractère désagréable et capricieux, a dansé à l' Académie royale de musique dans les opéras ou ballets dont les titres suivent: Armide, tragédie de Quinault, musique nouvelle de Gluck, reprise en 1786 ; la Toison d'or, tragédie de Dériaux, musique de Vogel, en 1786, reprise en 1788 ; Phèdre, tragédie d'Hoffman, musique de Le Moyne, en 1786, reprise en 1787; Pénélope, tragédie de Marmontel, musique de Piccini, reprise en 1787; Théodore à Venise, opéra de Moline, musique de Paisiello, en 1787; Arvire et Évelina, opéra de Guillard, musique de Sacchini et Rey, repris en 1788; Iphigénie en Aulide, tragédie du bailli du Roullet, musique de Gluck, reprise en 1788; Aspasie, opéra de Morel, musique de Grétry, en 1789; Démophon, opéra de Dériaux, musique de Vogel, en 1789; les Prétendus, opéra de Rochon de Chabannes, musique de Le Moyne, en 1789; Télémaque et Mentor, ballet de Gardel jeune, en 1790."
    AS