Personne : Marie-Rose-Claude-Josèphe Levasseur

D'une troupe

Role Troupe De à
chanteur
Académie royale de musique (Paris) 10-1766 1785

Performance Rôle Troupe Date
Iphigénie en Tauride (1779-05-18) chanteur Académie royale de musique (Paris) 1779-05-18
Electre (1782-07-02) chanteur Académie royale de musique (Paris) 1782-07-02
L’Europe galante (1766) chanteur 1766
Armide (1777-09-23) chanteur 1777-09-23

  • Grove Music Online
    JULIAN RUSHTON: 'Levasseur, Rosalie', Grove Music Online ed. L. Macy (Accessed 31 May 2004), http://www.grovemusic.com :
    "Levasseur [Le Vasseur], Rosalie [Marie-Rose-(Claude-)Josephe] (b Valenciennes, 8 Oct 1749; d Neuwied am Rhein, 6 May 1826). French soprano. She made her début at the Paris Opéra in 1766 as Zäide in Campra's L'Europe galante and appeared there regularly until 1785. Known as Mlle Rosalie during her first ten years at the Opéra, she was well received in minor roles or as a substitute for Mme Larrivée until, in 1776, she was entrusted with Eurydice and Iphigenia in revivals of Gluck's operas. She was then preferred over her rival, Sophie Arnould, to create the title role in the French Alceste. The mistress from 1770 of the Austrian ambassador Mercy-Argenteau, by whom she had a son, she became Gluck's close friend and favourite interpreter, creating the title roles in Armide (1777) and Iphigénie en Tauride (1779). She was successful in the title role of Philidor's Ernelinde (1777 revival), but less so in Piccinni's works, relinquishing his Angélique (Roland) and Sangaride (Atys) to other singers. Her reputation lay not in vocal beauty but in intelligent use of the voice as an adjunct to accomplished acting."
    AS
  • Campardon
    L'Académie royale de musique au XVIIIe siècle, 1884, t. II, pp. 127 - 131 : "Elle débuta à l'Académie royale de musique, sous le nom de Rosalie (1), au mois d'octobre 1766 et joua d'abord les rôles sans importance, puis fut chargée des doubles et des remplacements. Sa première création importante, celle d'Alceste, dans Alceste, tragédie du bailli du Roullet, musique de Gluck, date de 1776 […] Mlle Levasseur chanta ensuite avec un grand succès Iphigénie, dans Iphigénie en Tauride, tragédie de Guillard, musique de Gluck […] Le rôle d'Electre, dans Electre, tragédie de Guillard, musique de Le Moine, représentée le 2 juillet 1782, fut pour elle l'occasion d'un nouveau triomphe […] A partir de cette époque, Mlle Levasseur parut rarement au théâtre, où son caractère difficile et ses exigences lui avaient fait peu d'amis. (1) Elle quitta ce nom en 1775, lorsque Palissot publia sa comédie des Courtisanes, parce que l'une des héroïnes de la pièce s'appelait Rosalie."
    AS
  • References
    Pitou 1715-1815, p. 347-9.
    Benoit (1992) p. 407.
    MM