Personne : Luigi Carlo Zanobi Salvatore Maria Chérubini

Titre Date Rôle
La Punition 1799-02-23 compositeur
Médée 1797-03-13 compositeur
Emma 1799-09-12 compositeur
Lodoiska 1791-07-18 compositeur
Démophon 1788-12-05 compositeur
Elisa 1794-11-25 compositeur
L’Hôtellerie portugaise 1798-07-25 compositeur

  • BNF cat.
    Compositeur. - Né à Florence ; mort à Paris. - Élève de Sarti à Bologne (1778). - Compositeur du théâtre Haymarket de Londres, puis de la Cour d'Angleterre (1784-1786). - Directeur de l'Opéra italien à Paris (1789). - Membre de la compagnie de Sarrette (1794). - Surintendant de la musique du roi et directeur de la Chapelle royale (1815-1821). - Professeur de composition puis directeur du Conservatoire de Paris (1821). - Compose des opéras et de la musique religieuse --- Forme(s) rejetée(s) : < Cherubini, Maria Luigi Carlo Zenobio Salvatore < Cherubini, Luigi Salvatore.
    MM
  • GROVE
    http://www.grovemusic.com : Article en 11 volets par M. Fend ; voir en particulier : 2. Paris, music for the stage and first affiliation with the Conservatoire (1786-1804)
    MM
  • PITOU
    The Paris Opéra (1983, Bod. MUS GA23) II, 112 : [CHERUBINI, Luigi-Carlo-Zanobi-Salvatore-Maria. Compositeur, appellé Chérubin en français. A 16 ans, il avait déjà composé une collection 'impossible' de musique religieuse. Le grand duc de Toscane finance ses études avec Giuseppe Sarti à Venise. Il compose son premier opéra en 1780. Londres, puis Paris ; Ifigenia in Aulide à Turin, février 1788 ; la même année, à Paris, Démophon ; directeur de l'Opéra de Paris ; du Théâtre de Monsieur ; la Prisonnière avec Boïeldieu au Théâtre de Montansier, 1799 ; Anacréon, 1803. Il fuit Napoléon pour Vienne, où il s'associe avec Beetoven. A la prise de Vienne en 1806, Napoléon le charge d'organiser les réjouissances. Il le ramène en France et le décore de la Légion d'honneur, le fait membre de l'Institut, directeur du Conservatoire, avec pension. Il écrit ensuite : le Crescendo, 1810 ; Bayard à Mézière, 1814 ; les Abencérages, 1813 ; Blanche de Provence, 1821 ; Ali Baba, 1833. Son œuvre montre une 'recherche de pureté et de beauté absolue' qui lui aurait valu une réputation durable si Gluck n'avait fait l'essai avant lui.] (extrait traduit)
    MM