Personne : Blagny

  • théâtre chez les bourgeois
    « L’esprit abdéritain n’a point encore quitté nos seigneurs, qui continuent à représenter des tragédies. L’on donna vendredi dernier chez M. le marquis de Villars Tiridate, avec une nouvelle pièce de Moncrif. Cette fureur a saisi même le Bourgeois. L’on ne trouvait cet automne à la campagne que théâtres, parmi lesquels il y en avait qui avaient coûté jusqu’à dix mille francs à construire. La meilleure troupe au dire des connaisseurs était celle de Madame de Blagny, femme du trésorier des Parties casuelles. » (Journal de la Cour et de Paris (éd. Henri Duranton, p. 16), 28 novembre 1732)
    DT