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Campardon
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Les Spectacles de la foire, 1877, t. I, p. 206 : "COCHOIS (Mlle MOLIN, femme du sieur), sœur de Francisque et femme du précédent [M. Cochois], faisait, comme son mari, partie de la troupe de Francisque, sur le théâtre duquel elle débuta, à la foire Saint-Laurent de 1720, par le rôle de la soubrette, dans la Statue merveilleuse, opéra comique de Lesage et Dorneval, […] et obtint un véritable succès dans cette création. Mlle Cochois suivit son frère et sa fortune quand il quitta Paris pour aller donner des représentations en province et à l'étranger."
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AS
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Fuchs : Lexique
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P. 42 : "Cochois (Michel). – […] épouse, avant 1718, à Lille, une sœur de Francisque et Simon Moylin (Dacier (E.), Une danseuse de l'Opéra sous Louis XV, Mlle Sallé, Paris, Plon, 1909, in-16, p. 3); mourut non en 1743, comme le dit Lyonnet, mais avant 1736 : cette année-là on trouve en effet la "veuve Cochois" à Nancy (Dacier (E.), Une danseuse de l'Opéra sous Louis XV, Mlle Sallé, Paris, Plon, 1909, in-16, p. 290) et, le 28 septembre 1737, une autorisation est accordée par le viguier d'Avignon aux "enfants de Michel Cochois" et à Jean Martel (Duhamel, Le théâtre d'Avignon aux XVIIe et XVIIIe siècles, ap. Annuaire de Vaucluse, 1890, p. 114). Ces enfants étaient au nombre de trois : un fils, qui jouait à Berlin en mai ou juin 1743 et qui mourut encore jeune en Russie (Olivier (J.–J.) Comédiens français dans les cours d'Allemagne, Paris, 1901 – 1905, 4 vol. in-4, II, p. 34); deux filles : Babet et Marianne."
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AS