Personne : Stanislas Champein

Titre Date Rôle
Le Chevalier sans peur et sans reproche 1786-08-24 compositeur
Le Poète supposé 1782-04-25 compositeur
Les Amours de Colombine 1785-02-03 compositeur
Isabelle et Fernand 1783-01-09 compositeur
La Mélomanie 1781-01-23 compositeur
Le Nouveau Don Quichotte 1789-05-25 compositeur
Les Noces cauchoises 1790-08-11 compositeur
Les Espiègleries de garnison 1791-09-21 compositeur
Les Dettes 1787-01-08 compositeur
Les Epreuves du républicain 1794-08-04 compositeur
Florette et Colin 1787-07-07 compositeur
Les Déguisements amoureux 1789-08-08 compositeur
Bayard dans Bresse 1791-02-21 compositeur
Le Canonnier convalescent 1794-06-29 compositeur
Le Portrait 1790-10-22 compositeur
L’Amoureux goutteux Inconnue compositeur
Les Fausses nouvelles 1786-08-26 compositeur
Le Soldat français 1779-06-01 compositeur
Mina 1780-01-26 compositeur
Léonore 1781-07-07 compositeur
Le Baiser 1781-11-26 compositeur
Le Manteau 1786-09-02 compositeur
Lanval et Viviane 1788-09-13 compositeur
Les Ruses de Frontin 1790-03-08 compositeur
Les Deux prisonniers 1794-02-10 compositeur
La Chaise à porteur Inconnue compositeur

  • GROVE
    http://www.grovemusic.com : Champein, Stanislas (b Marseilles, 19 Nov 1753; d Paris, 19 Sept 1830).
    [Il commença par la composition religieuse, d'abord pour l'église de Pignon en Provence où il était chef de chœur, puis, en 1776, à Paris. Sa composition théâtrale commença en 1779 avec le Soldat françois, opéra comique joué par les comédiens du Bois de Boulogne. La mélomanie (première en 1781) eut un succès durable. En 1789, il présenta le Nouveau Don Quichotte au Théâtre de Monsieur comme une traduction d'un auteur fictif, 'Signor Zuccarelli', parce que le théâtre n'était autorisé à jouer que des pièces italiennes. Au début de la Révolution, il était à Rouen, où il produisit des chants patriotiques. En 1793, sa production musicale est interrompue par les devoirs administratifs lorsqu'il est nommé président du département de Rhin et Mozelle, jusqu'à son retour à Paris en 1804. A la Restauration, il pert la pension de 6 000 francs octroyée par Napoléon, et il se trouve pauvre et oublié. Ses amis font pression sur le nouveau gouvernement pour rétablir sa pension, mais il n'en profite que peu de temps.] (extrait traduit de l'article par P. Letailleur)
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  • Reference
    Pitou 1715-1815, p. 104-5.
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