Personne : Pierre Gaveaux

Titre Date Rôle
Apelle et Campaspe 1798-07-13 compositeur
Le Sic paria 1792-10-08 compositeur
Sophronime 1795-02-13 compositeur
Léonore 1794-10-01 compositeur
Delmon et Nadine 1795-06-10 compositeur
L’Amour filial 1792-03-07 compositeur
Sophie et Moncars 1797-09-30 compositeur
La Partie carrée 1793-06-26 compositeur
Lise et Colin 1796-08-04 compositeur
Le Diable couleur de rose 1798-10-23 compositeur
Le Traité nul 1797-06-23 compositeur
Tout par hasard 1796-10-22 compositeur
Le Petit matelot 1795-12-18 compositeur
Les Deux ermites 1793-04-20 compositeur
La Famille indigente 1794-03-24 compositeur
Les Deux jockeys 1799-01-17 compositeur
Les Noms supposés 1798-12-06 compositeur
Céliane 1796-12-31 compositeur
Gasconnade 1796-10-10 compositeur
L’Histoire universelle 1790-12-16 compositeur
Le Club des bonnes gens 1791-09-24 compositeur

  • BNF, catalogue :
    "Gaveaux, Pierre (1761-1825) - forme savante à valeur internationale. Naissance : 1761-08 - Mort : 1825-02-05. Chanteur et compositeur. - Né à Béziers ; mort à Passy. - Apprend la composition sous la direction de F. Beck. - Maître de chapelle au Grand théâtre de Bordeaux (1780). - Secrétaire de l'Opéra-Comique (1801-1812). - Se retire à la suite d'une attaque d'aliénation mentale (1812). - Écrivit des airs d'opéras, des romances, des chants révolutionnaires, des ouvertures pour orchestre. - Fondateur d'une édition musicale avec son frère."
    AS
  • GROVE
    http://www.grovemusic.com : Gaveaux [Gavaux, Gaveau], Pierre (b Béziers, 9 Oct 1760; d Charenton, nr Paris, 5 Feb 1825).
    [Chanteur et compositeur français. A sept an il était enfant de chœur de la cathédrale de Béziers, où il fut soloiste pendant près de dix an. Il étudiait le latin et la philosophie pour la prêtrise, et en même temps la composition avec l'organiste de la cathédrale. Ses premiers succès de composition lui font abandonner les ordres pour se consacrer à la musique : directeur et ténor à Bordeaux, Montpellier en 1788, le Théâtre de Monsieur à Paris en 1789. C'est quand la companie rejoint le Théâtre Feydeau qu'il commence à écrire pour la scène : Le Paria, ou La Chaumière indienne, 1792 ; Le Traité nul, 1797. En 1793, il avait fondé un magasin de musique, "A la nouveauté", avec son frère Simon, où il publiait ses œuvres. Pendant la Révolution, il écrivit des chants patriotiques.
    Lorsque le Théâtre Feydeau joint le Théâtre Favart en 1801, il est gardé mais sa voix s'est affaiblie et la compétition avec les jeunes chanteurs est dure. Il doit quitter la scène en 1812 pour maladie mentale, se remet et tient le magasin pendant quelques années, produisant un dernier opéra comique, Une Nuit au bois, mais doit se retirer à Charenton en 1819.] (extrait traduit de l'article par P. Letailleur)
    MM