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Mongrédien & Robert, p. 95 :
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"Lancaster (Lancaster (Henry Carrington), A History of french dramatic litterature in the seventeenth Century. Part III. Baltimore et Paris, les Belles-Lettres, 1936, 2 vol., I, pp. 462 – 469) et Alexandre Cioranescu […] le signalent comme acteur et auteur entre 1630 et 1640."
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AS
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BNF cat.
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Durval, Jean-Gilbert, 16-- - 16--
Acteur et auteur dramatique entre 1630 et 1640. - A été au service du duc de Nemours.
Source(s) : Discours à Cliton sur les Observations du Cid / [Jean-Gilbert Durval], 1637.
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MM
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MOUHY (1752)
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p. 41 : "DURVAL. On apprend par l'Epître Dédicatoire de la Tragédie des TRAVAUX D'ULYSSE, dont il est l'Auteur, qu'il passa au service du Duc de Nemours, lorsqu'il la fit représenter. Vivant en 1631."
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ME
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LERIS (1763)
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p. 571 : "DURVAL (J. G.) a composé trois pieces […]. Il fut au service du Duc de Nemours, & donna sa premiere piece en 1631."
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ME
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Original data
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person_ID = 437
dates_de_repere = 1630-1640
first_name = Jean-Gilbert
last_name = Durval
skills = auteur et comédien
notes = LANCASTER et CIORANESCU le signalent comme acteur et auteur
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AS
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McGowan (1978) bibliographie
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Sources imprimées des vers de ballets, p. 316 :
Durval (Jean G.) : Agarite, tragi-comédie, dédiée à Madame la Duchesse de Nemours. Paris, f. Targa, 1636.
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MM
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BEAUCHAMPS (1735)
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Vol. II, pp. 94-97 : "Le privilege du 9. février 1639. porte permission au sieur Durval de faire imprimer quelques pœmes dramatiques, & piéces comiques ; on ne sçait si c'est-là une des quatre piéces qu'il promet dans l'avis au lecteur d'Agarite ; voici ce qu'il dit dans la préface de Panthée.
"Quand je me suis retiré de la scéne, je n'ai pû m'abstenir de faire deux ou trois piéces à son usage, dont voici la derniere ; c'est tout ce que j'aurai planté de cette nature sur notre parnasse ; aussi-bien depuis que les reguliers en ont sous prétexte de réforme usurpé la possession, pour y fonder leur secte, je ne puis, sans passer pour scandaleux, m'affranchir de la séverité de leur statut, qui leur fait dépenser en une journée de vingt-quatre heures toute leur provision, sans avoir souci du lendemain : A cette regle n'aïant pas trouvé bon d'ajuster mes œuvres, ni principalement celle-ci, non qu'il ne m'eût été facile de l'observer, il m'est plus séant de faire place aux maîtres qui l'enseignent que de les choquer ; à la vérité s'ils n'étoient en jouissance de plus de trois ans, & que je fusse recevable à plaider au pétitoire, il me seroit aisé de mettre ici tout le plaidoïé de la partie adverse, & d'appuïer de raisons l'opinion contraire que je soutiens, mais encore faudroit-il être reglés des juges, & ceux d'à-present, pour illustres qu'ils soient, sont civilement récusables, pour avoir déja prématurément donné leur avis en cette matiere, j'appelle à la posterité."
Ces juges sont sans doute messieurs de l'académie françoise, qui avoient donné leurs sentimens sur le Cid, où ils établissoient la regle des vingt-quatre heures ; on laisse à juger aux lecteurs de la force ou de la foiblesse du raisonnement de Durval. […]"
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ME