Personne : Charles-Alexandre Bernard

Titre Date Rôle
Jason et les Argonautes 1764 auteur
Circé amoureuse de Picus, roi d’Italie 1763-11-04 auteur
Les Savoyards 1759-05-30 auteur
La Guinguette 1759-07-26 auteur
Le Port de Marseille 1759-07-26 auteur
Les Jardiniers 1759-09-26 auteur
Les Perruquiers 1759-10-03 auteur
La Récolte des fruits 1759-10-21 auteur
Le Suisse 1759-11-17 auteur
Les Corsaires 1759-12-26 auteur
Rhœcus 1763-05-29 auteur
Circé 1763-06-23 auteur
Les Turcs 1759-05-30 auteur
La Sérénade vénitienne 1769-03-16 auteur
Les Quakers 01-1763 auteur

  • Sujet Biographie
    Objet Baptisé à Anvers le 17 mai 1724 (paroisse Notre-Dame Sud), Bernardy épouse dans la même paroisse, le 10 janvier 1746, Marie-Anne Chaumont, probablement fille de comédiens. Les époux dirigent le Théâtre de Gand d'octobre 1752 aux Rameaux 1753. Dès 1755, Bernardy est l'un des premiers danseurs du Théâtre de la Porte de Carinthie (Kärntnertor) à Vienne, sous la direction d'Hilverding puis d'Angiolini. Durant l'année 1759, il y donne plusieurs ballets de sa composition. A Bruxelles pour la saison 1763-1764, on le rencontre à Londres la saison suivante. Il sillonne ensuite le Nord de la France et les Pays-Bas et, en 1775, constitue une troupe d'enfants dénommée "Les Enfants brabançons". Cette troupe se produit ensuite partout en France pendant plus de cinq ans, puis revient dans les Pays-Bas et à Liège.
    Le couple Bernardy eut plusieurs enfants, dont quelques-uns laissèrent leur empreinte au théâtre : Marie-Denise (baptisée à Anvers le 16 juillet 1746), épouse Louis-Joseph Nones, dit Fleury. Elle dirigera à son tour une troupe d'enfants sous le nom de Mme Fleury (sa fille Marie-Florence, baptisée à Anvers le 28 décembre 1766, deviendra sociétaire de la Comédie-Française en 1791). Louis-Joseph (baptisé à Lille le 18 mai 1749) sera peintre et décorateur de la troupe paternelle et Antoine (né à Vienne) sera musicien dans la même troupe.
    Van Aelbrouck (Jean-Philippe), Dictionnaire des danseurs à Bruxelles de 1600 à 1830, Liège, Mardaga, 1993, p. 71-74.
    Utilisateur JPhVA